Depuis l’été dernier (souviens-toi – non, pas toi, Barbara), je suis ‘achement plus émotif qu’avant. Dans le sens sensible. Un film, un livre, une série à la con, un type en larme, une musique bien faite, et j’ai les larmes aux yeux. Je pense avec force et nostalgie à certains événements, et j’ai les larmes aux yeux. J’écris sur un t’chat à une fille de la fac que je connais pas si bien que ça, on envisage de se retrouver avec Jianan à Pâques tous les trois, j’ai les larmes aux yeux. Je dis une connerie que j’aurais pas dû, lors de l’éclaircissement du quiproquo ou de la “résolution” du problème, j’ai les larmes aux yeux (si c’est quelqu’un d’important pour moi). Là, je sais pas pourquoi, j’ai failli me mettre à pleurer pour la situation au Japon. Je m’ouvre. Ça fait bizarre. Tiens, en écrivant ça les larmes remontent. Sérieux. Je me féminise, m’a-t-on dit. Possible. J’ai hâte d’être jeudi après-midi pour avoir du temps, et faire une bonne grosse méditation. Fuck je me reprenne et que j’adopte un rythme avec un minimum de suivi. C’est pas le terme mais bon. Ah, et pour finir, je suis (du verbe suivre) le DalaïLama sur Twitter. J’aime bien, Twitter. Beaucoup moins “Entre dans ma vie” que Facebook, je trouve. Enfin ça dépend des gens, mais de manière générale quand même.
Work
14
Mar
Ce vendredi aura lieu à Brighouse dans un hôtel ce qu’on appelle le VAL, pour les most valuables students de langues. 12 élèves par langue iront passer la journée à faire des activités dans une langue (pour ceux qui en ont deux je sais pas comment ça se passe, ils doivent choisir je pense), contre £25. Donc on a mis les assistants à contribution, et j’ai particulièrement été gâté. J’ai énormément bossé ce week-end, plus que j’ai jamais bossé depuis… fiou… 11 mois, pour les partiels de fin avril 2010. Read the rest of this entry »