Deux jours en un pour commencer

Écrit le 7 juillet 2009 - 16 commentaires

Bon, il s’est passé tout plein de trucs, je vais essayer de tout remettre dans le bon ordre, et de manière complète…

Dimanche 5 juillet au soir, sachant pertinemment que je ne m’endormirais pas à cause de l’excitation due à mon départ du lendemain pour le Japon, j’ai chargé à bloc mon iPod, qui a pris plusieurs gigas dans la tronche. Tout était prêt dans mon sac et ma bandoulière, manquait juste un pull et ma ceinture que j’avais zappés, mon réveil, l’ordi et le chargeur. Donc la soirée se passe, je finis mes trucs, et je vais me coucher. Je n’arrive pas à dormir, me disant que je vais aller au Japon, trop bien, tout ça, du coup j’allume la radio pour que le temps passe plus vite. Logiquement ça m’endort, et quand le réveil sonne à 6h15 c’est avec la radio toute faible, donc je ne me réveille pas. Du coup départ plus précipité que prévu, quelques trucs pas hyper importants non emmenés, en même temps plus beaucoup de place.

Mon père m’emmène à la Part-Dieu où mon train de 7h28 a 20 minutes de retard. Il devait se faire enc… bugner par un autre derrière qui poursuivrait sur la Belgique après Lille Europe, mais celui-ci a été victime d’une agression – pauvre train – donc retard et retard. Je suis juste derrière les places à quatre, où huit types d’une trentaine d’années, collègues et amis, se trouvent. Les quatre devant moi dorment ou lisent, les autres parlent fort de gonzesses, de voitures de luxe, de fric et de commerce (et l’un d’eux est Mr Blagues, même s’il en a sorti une ou deux de drôles). Donc on part à la bourre, il y a ces types-là qui parlent, le TGV qui reste 15 minutes à Marne-la-Vallée, résultat j’arrive bien en retard par rapport à l’horaire prévu à Roissy Charles de Gaule, d’autant que je connais rien. Heureusement l’embarquement des bagages pour mon vol Paris>Helsinki ouvrait deux minutes après mon arrivée, donc tranquille. Devant se trouvent notamment des jeunes qui vont en Inde, dont un qui est le sosie de Sébastien Grosjean, mais vraiment, même dans la façon de parler. Bref.

Tout se passe bien, je suis gentil avec les gens, qui sont pas désagréables avec moi, et je me retrouve avec un mal de ventre et vingt minutes devant moi. Mais que faire donc ? Et si on allait aux toilettes ? Mais quelle idée… Déjà que dans le train et la file d’attente pour les bagages je faisais style c’était pas moi en grimaçant et en me retournant l’air inquisiteur, mais là… les deux toilettes dans le sens pour chier, pas pisser contre le mur, étaient occupées. L’un a l’air d’être mort d’ailleurs, il a pas bougé pendant longtemps. L’autre devait avoir la chiasse, parce que ça refoulait, mais un truc de malade ! En plus je voyais un peu dans le reflet du mur, il prenait plein de papier, il a tiré je sais pas combien de fois la chasse d’eau, mais c’était une horreur. Je suis passé après plutôt rapidement étonnamment, et suis sorti dès que j’ai pu. D’ailleurs normalement j’avais encore à attendre, mais voyant que les jeunes (français, hein, pas indous, eux ils étaient derrière avec plein de valises mais on s’en fout j’en ai pas parlé et j’en parlerai pas, non non) étaient partis pour le check-in, j’y suis aussi allé. Ah mes aïeux ! Il faut sortir du sac qu’on garde avec soi tout ce qui est électronique ! Et moi tout était électronique ! Et j’en avais chié pour bien ordonner ça, c’était le bordel après, ça fermait plus, c’était une catastrophe. En plus j’ai sonné à cause de ma chaîne a priori, un grand noir m’a palpé de manière locale et j’ai souffert les cigognes grave. Donc rien de spécial, on avance, on avance, on avance, c’est une évidence, on n’a pas assez d’essence, on avance. Du coup on a fini par monter dans l’avion (A320 de Finnair), pas hyper grand, deux rangées de trois places mais blindées, et on part à peu près à l’heure direction Helsinki.

Pas de problème dans l’avion, ni d’intestins ni d’estomac ni de passagers, temps superbe, impecc’. J’étais côté fenêtre, et c’était magnifique. Entre les nuages blancs cotonneux qui peuvent faire plusieurs dizaines de mètres de hauteur et les petits gris qui font pas plus de 30 cm et certainement d’autres, avec aussi la netteté de la limite entre la qualité de l’air, peut-être aussi la pression, en tout cas le truc qui fait qu’on dirait que les nuages sont posés sur un truc solide, c’est splendide. Et pis la mer de nuages, quand on ne voit plus que ça… ah là là… Ça donnerait presque envie d’être stew. Niveau nourriture, on a eu du pain épicé, du poulet sauce barbecue avec des carottes et des pommes de terre, c’était fort sympathique – et brûlant. Et aussi, toutes les quatre ou cinq rangées, il y avait un petit écran en l’air, qui donnait plein d’infos sur le trajet : un logiciel dynamique qui donnait la localisation exacte sur le globe, le trajet effectué, la vitesse, l’altitude, l’arrivée estimée, la température extérieure, les décalages horaires, plein de trucs avec plein d’effets de vue et de langues pour qu’on regarde ça en ne voyant pas le temps défiler – et ça marche. Après c’est passé à du golf sans le son, mais j’ai beaucoup aimé le principe de l’écran comme ça, et des infos qu’il donne. J’ai hésité à écouter de la musique, mais je me suis alors rendu compte… que j’avais oublié, en plus de la ceinture de mon jean dans la voiture, le câble de mon iPod… donc j’ai préféré économiser la batterie pour la suite. En attendant, la Finlande c’est très joli, en tout cas vu d’en haut – et d’en face pour certaines filles de l’aéroport.

On arrive ensuite à Helsinki comme prévu, et j’ai dû me faire tout l’aéroport – qui n’est pas très grand – pour arriver à la bonne porte. Dans la file d’attente, je sympathise vaguement avec un vieux Japonais qui était allé faire je sais pas quoi mais qui m’avait chargé sans rien dire de surveiller son sac. Je me la racle en devinant les caractères de leur nom de famille – j’avais vu Mastumoto sur les billets et je connais un kanji matsu 松 et un moto 本, j’ai eu de bol que ce soit eux -, et on finit bien forcément par entrer dans l’avion qui m’emmenait à Nagoya.

Mais cette fois-ci, de Dieu ! Bien plus espacé, trois rangées (2-4-2), chacun a son propre écran (avec le même truc d’infos sur le vol, en plus d’autres possibilités), une grande majorité de Nippons (vieux, même, malgré une jeune hippie et une jeune ayant des rangers et parlant le finnois), et une plus grande classe qui se dégage que dans le précédent avion, bien que la compagnie soit la même. D’ailleurs, j’ai regardé, c’était un A330 celui-là, comme le Rio>Paris… Mais bien, hein… Dans l’écran, jeux, films, télé, musique, on pouvait même utiliser internet, le téléphone, appeler un taxi (en payant of course) et diverses choses plus ou moins utiles. Niveau bouffe, au dîner ils nous ont servi un steak haché de bœuf avec des accompagnements bateaux, plus une putain de salade de concombre avec une sauce omagade, des nouilles soba, du pain épicé et des gâteaux. Avec tout ça il y a le décalage horaire, la luminosité qui ne faiblit pas, l’horloge interne qui se détraque encore plus, et un iPod que j’ai fini par entamer tellement je m’ennuyais – mais j’étais trop fatigué pour bosser le japonais. Finalement j’ai essayé de dormir, sans succès, alors j’ai regardé un film. Chronique d’un scandale ; pas top. J’ai dormi un peu après, mais pas confortable, alors j’ai voulu regarder une connerie, et j’ai vu Volt – Chien malgré lui ; marrant, quelques situations cocasses, et une super morale : « Un chat, un chien et un rongeur, c’est la recette du bonheur »… Il y a une chanson dans le film, elle est en trop… Du coup je suis senti bien en forme après ça, aucune envie de dormir, alors je bosse le japonais. Bon, j’ai juste revu ce que je savais déjà, mais j’approfondis les bases, rhô. Au petit déjeuner, on a eu de l’omelette avec des carottes et une sorte de fromage fondu, c’était étonnant. On passe au-dessus de la Mongolie et de la Chine notamment, bien joli le désert et les montagnes arides. Mais le Japon reste plus beau, avec des couleurs et des montagnes incroyables, une magie indéfinissable. Au fur et à mesure qu’on arrivait, je me disais « Ça y est, je suis au Japon, ça y est, c’est pas possible, enfin ! » À partir de l’atterrissage jusqu’à la douane, j’avais un putain de smile comme dirait l’autre (sourire en anglais), presque ayant du mal à réaliser que j’allais être entouré de Jap’. Jusqu’à la douane, parce que j’avais rempli les papiers au crayon à papier et il a fallu que je repasse tout au bôrupen, donc j’ai perdu du temps, ensuite il fallait se faire prendre en photo avec ses beaux cheveux bien propres, prendre les empreintes digitales et arriver avec 30 minutes de retard – alors que l’avion était arrivé à l’heure – auprès de ceux qui m’attendaient pour m’accompagner à Okazaki, où je suis actuellement.

Alors déjà, ils roulent à gauche ! Ça fait super bizarre, ça change tout ! Pour les passages piétons je suis perdu, je sais pas où regarder, certaines routes sont super étroites, les distances de sécurité ils connaissent pas, ils aiment sucer les roues (non elles ne se tondent pas) de celui qui est devant eux, et surtout ils adorent les Toyota et les voitures hautes en général. Le nombre de Toyota du même modèle, même couleur que j’ai vu en 50 minutes de voiture (j’étais dans le même Toyota que celui de mon enfance, c’était bath), est impressionnant, voire conséquent sur l’éventuel jugement de certains sur ces bridés même pas jaunes.

En tout cas, on arrive, c’est bien moins paradisiaque que ce que je m’imaginais, mais normal d’un côté, mais on verra demain les locaux des cours. On m’a filé la clef de ma chambre – je suis avec un Ricain que j’ai toujours pas vu pour le moment, plutôt bordélique apparemment -, filé un plan du quartier de la ville (qui est grande, en fait) et quand j’y suis retourné pour finir de payer mon inscription ils m’ont dit que j’avais déjà trop payé et qu’ils me donneraient de l’argent. Chouette. Parce que certes en fait j’avais avec moi mon câble d’iPod, mais pas de câble Ethernet ! Ils disaient qu’il y avait une connexion, mais en fait il y a la prise et il faut amener avec soi son câble. Je viens de voir à l’instant le Ricain en question, un noir à l’air sympathique, qui n’utilise pas son câble Ethernet et qui capte même le Wifi depuis la chambre. Pis y a un Espagnol qui a un adaptateur pour moi, le temps que j’en trouve un, donc c’est chouette.

Mais c’est pas tout ça, parce que j’avais rien pour prendre soin de mon corps, hmmm… alors j’ai voulu en profiter pour repérer les lieux pour le test de japonais de demain matin 9h pour déterminer dans quel groupe je serai (d’ailleurs la pile marche pas, aucune idée pourquoi). Je me suis paumé je sais pas combien de fois malgré le plan – faut dire que les Japonais et les indications des rues, ça fait quatorze (pas de nom de rue) -, et j’ai fini par repérer où il fallait aller par où avec qui pourquoi divisé par combien tout ça. D’ailleurs les magasins à 100¥ en fait c’est 105¥, avec la TVA qui est à 5% apparemment au Japon. Sinon, je comprends rien, j’ai un niveau pourri et je suis paumé où que j’aille. J’ai même fini par demander à un type où se trouvaient les ramens – sous mon nez – et je l’ai recroisé plusieurs fois par la suite, on se marrait à chaque fois. Sinon (oui j’abuse des sinon mais peu importe) il y a plein d’expressions dans les magasins notamment où ils (elles) parlent super vite et c’est incompréhensible, et je sais pas quoi répondre, alors je dis konnichiwa et finis par arigatô gozaimasu en me disant que ça peut pas faire de mal – apparemment parfois il faut rien dire, en tout cas rien n’est attendu – et en général ça finit par un rire de la vendeuse…

Bon, j’ai décidé de faire pêter le repas d’à midi pour économiser un peu (j’ai l’impression que j’aurai un souci d’argent, je sais pas pourquoi, alors qu’il y a pas de raison) et surtout que vu qu’il fait HYPER chaud et humide, j’ai jamais vu ça, je bouge moins donc ai moins besoin de nourriture. Mais bon, 30 minutes de marche chaque jour me feront peut-être changer d’avis, on verra. D’ailleurs j’ai hâte de savoir mon emploi du temps, tout ça, pour programmer les zévénements, notamment le Mt Fuji (富士山).

疲れた~~~

(Il manque certainement des trucs mais bon, tant pis.)

(Et pas de photos pour le moment, j’en ferai certainement demain.)


« Calme et pluie

16 commentaires

Ben
Écrit le 7 juillet 09 à 8h27

Kon ban wa’ !
Eh ben mon Renaud, quand tu te mets à écrire ça y va ! Alligator !
Merci pour toutes ces info, c’est vraiment vivant et on a l’impression d’être avec toi, dès que nous serons à Pignan, nous lirons à Douchka ton journal.
Dors bien, bon courage pour tout et merci ; si nous étions inquiets ou curieux de ce que tu vivais là-bas tout seul, pauvre âme esseulée loin de son papa et de sa maman et de ses soeurs et beauf-frère nous voici rassurés.
Bises et au prochain commentaire.
Mum !


 
fikotte
Écrit le 7 juillet 09 à 9h35

hyper long, mais tellement jubilatoire de te lire !
ca me fait rire que tu sois limité à de simples politesses pour te débrouiller, moi qui pensais (avec mes deux phrases si difficilement apprise) pouvoir déjà entamer un bout de discussion !!
:D la blague !
En tout cas, bien contente que le voyage ne t’aie pas trop remué et que tu aies eu la chance d’apprécier la beauté du ciel dont je ne me remettrai jamais ! Ravie aussi que tu sembles bien t’acclimater !
En tout cas, ne te laisse pas dépérir ! Si c’est nécessaire, on pourra te faire des prêts par virement ou je ne sais quoi, mais ne t’empêche pas de profiter de la nourriture locale !

PROFITES A FOND !!!
foufoune
:D


 
fikotte
Écrit le 7 juillet 09 à 9h39

et comment ils te trouvent les japonais ?
grand ? blond ? drôle ?
débridé ? excellent…


 
La Papatte
Écrit le 7 juillet 09 à 9h50

Salut, Mister Glou !
et merci encore pour cette narration enjouée. Pour la ceinture que tu as oubliée dans la bagnole, je te suggère d’acheter 1 m de ficelle, ou de corde à linge, ou de fil électrique ou 2 pinces à linge pour garder ton falzar avec toi. Si tu as besoin de trucs (ours, tortue… :)) on peut te les envoyer par la poste, et tu devrais les avoir un peu avant Noël, va savoir…
On pile cet aprème à Fignan. Demain matin, on branchera l’ordi de la Ben, en espérant t’entendre te manifester sur Gmail (faut que j’emporte la ouèbecame, mais je sais pas où est le driver, on verra si ça marche).
Essaie de nous dire quel décalage horaire tu as avec nous, et vois si tu peux fixer un RDV pour une audio, voire visioconférence, ou à quelles heures on a des chances de tomber sur la toiture.
On a déterré la première récolte de patates hâtives (moins de 90 jours) : elles sont belles, roses à l’extérieur, et jaune dedans (non, pas devant). On va en embarquer à Pignan et les dévorer avec enthousiasme et du jambon + cidre + échalotes. Perspective…
Autant tu sembles avoir les pieds poites, autant ici Hilf effraie (genre 22 °) : belle couverture nuageuse, pas un bruit, un temps idéal pour faire du vélo. Ont-ils des pistes cyclables en ville, dans les régions où tu es (sans vaccin disponible) ?
Bonne journée, Saint-Galmier, et à bientôt hone ve faune oder hone ve mêle.
J’ai l’impression d’être Domenico regardant partir le jeune Christophe vers des terres inconnues en 1492… Sympa.
Bises, Phyloxéra.
Lappe appâte


 
Ninon
Écrit le 7 juillet 09 à 10h21

Vivement la suite et les photos!!


 
Tim pr les intimes
Écrit le 7 juillet 09 à 11h34

C’est trop kiffant ( ou bandant comme tu dirais) a lire ton récit^^On a presque l’impression d’ y être.
En tout cas, passe un bon séjour, profites en bien^^

Timothé


 
Renaud
Écrit le 7 juillet 09 à 12h40

Aucune idée pour les impressions des Jap’, a priori rien ou alors ils se marrent en voyant comme je rame.


 
maxime
Écrit le 7 juillet 09 à 18h51

gnéhéhéhé, j’attend la suite avec impatience! Ne laisse pas les japonais te transformer en sac à main, ou alors qu’ils attendent que tu nous racontes tout…

maxime


 
DML
Écrit le 8 juillet 09 à 8h42

Salut, Moussaka !
j’avais oublié de relever ta phrase pour le moins ambiguë pour qui ne me connaîtrait pas :
« Mon père m’emmène à la Part-Dieu où mon train de 7h28 a 20 minutes de retard. Il devait se faire enc… bugner par un autre derrière qui poursuivrait sur la Belgique après Lille Europe, ».
Te absolvo a peccatis tuis, fiston.

P.


 
Douchka
Écrit le 8 juillet 09 à 9h15

Eh ben pour un concis, t’es vachement prolixe ! Je ne te savais pas ce talent… ça, plus ta prouesse de monteur de photos, t’es un artiste, mon lapin !
En tout cas, je te dois un voyage en avion sans la peur au ventre, et Jap’ précie !
Par contre, moi qui te croyais très fort en japonais, je ricane en te voyant merder dans les boutiques ! Rassure-toi, j’ai connu ça en Allemagne après 6 ans d’allemand, et c’est pas marrant.
Bon courage pour la suite, et n’oublie pas de manger ni de boire…
Je sais que tu n’aimes pas ça – moi non plus d’ailleurs – et donc je t’engrasse gien fort, mon Gégé.
Douchka


 
Rion-ma
Écrit le 8 juillet 09 à 15h20

Hé!

pas mal le récit, j’attends la suite ;)

Et juste une question: ya combien de décalage horaires avec le Japon?


 
Renaud
Écrit le 8 juillet 09 à 16h58

Il y a 7 heures en plus.


 
Gaiol'
Écrit le 9 juillet 09 à 5h17

lil lil lil lil lil (yeah)
lillillillillil (yeah)
lillillillillillillillillilillillillil…
oh little brother of miiiiine !

T’as souffert les cigognes grave, Oulianov ? Il t’a palpé méchamment, ce gros vilain ? J’vais lui briser les noix, moi, tu vas voir ! Mon pov’ frérot qu’a enfin tout bien en place !

ixdélol pour le « semblant que c’était pas moi »

En revanche pas tout pigé sur  » »Mais c’est pas tout ça, parce que j’avais rien pour prendre soin de mon corps, hmmm… alors j’ai voulu en profiter pour repérer les lieux pour le test de japonais de demain matin 9h pour déterminer dans quel groupe je serai (d’ailleurs la pile marche pas, aucune idée pourquoi). » »
Ya une private joke ? Les piles ça doit être pour le dico, aille guaiss, mais kessè c’t histoire de prendre soin de ton corps ? Depuis quand tu prends soin de ton corps ;o) ?
Ne nous laisse pas dans une telle détresse ‘tellectuelle, on va pas arriver à dormir (oui parce que nous on compte dormir à des heures pas trop indoues…) ! Ah oui, et pourquoi tu veux pas nous parler des indous, hmm, c’est pas des turcs, pourtant ! ;o)

Bon j’te fous la Rex-Citron, buena fine (?) de notte et à plouss dans l’bouss.


 
Renaud
Écrit le 9 juillet 09 à 16h26

En effet, c’est pas clair. Je repérais les lieux et j’ai vu un magasin pas cher. J’en ai profité pour acheter shampooing et autres produits de soin du corps, hmmm… et 9h > réveil > piles.


 
anh'
Écrit le 10 juillet 09 à 22h43

Un peu à la bourre, parce que mon ordi merde encore (quand on a effacé des trucs dimanche, on a même effacé le modem qui fait qu’il veut/peut plus se connecter, le con – à moins que ce soit moi qui l’ait fait le lundi, va savoir… toujours est-il que je t’écris de chez Parents-Yasin…

Wayou trop cool, ton récit !!!!

Je m’étale pas, je vais lire la suite, en tout cas c’est marrant de te lire, j’adore comme tu écris ; et le « smile » c’était pour moi ? (t’avais un …. de smile en arrivant, comme dirait l’autre)

Bref, à tout de suite sur un autre jour.

Bisous mon Reno

PS : les commentaires sont aussi marrants que ton récit, je trouve. Même Douchka s’y met, c’est rigolo !


 
Renaud
Écrit le 11 juillet 09 à 5h28

Vi c’était pour toi ;)


 

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