Rien de chez rien

J’ai hésité à ne pas poster d’article pour aujourd’hui tellement il ne s’est rien passé. Du moins rien d’intéressant, même à raconter. Mais bon, je tente quand même, vous aurez le temps de boire votre café, comme ça.

Ce matin, rien à signaler. En cours, on révise ce qu’on a vu dans la semaine et on continue à parler beaucoup. Mais on est nombreux donc si on fait des erreurs la prof n’est pas forcément là pour l’entendre. Le midi je vais à Domy avec Chessie, je prends le bentô à 500¥ qui a un gros steak, une grosse frite, un œuf bizarre, des spaghettis, du riz et c’est principalement tout. Très bon, bien goûtu, sympathique. En revenant à Yamasa je fais le speech de Chessie, un truc tout con – il faudra que je prépare le mien mercredi, je le lirai devant la classe et quelques élèves, quelques profs, mais pas une cinquantaine de personnes vu que je pars un jour avant la fin des cours (c’était pas clair sur Internet) – et les cours reprennent.

Enfin, le test arrive, plutôt. On n’en avait pas eu la semaine dernière, c’était bien appréciable, mais là on n’y échappe pas. Le truc est prévu pour 2h et je le finis en 20 minutes… suivi peu après par d’autres. Je fais ce que la prof a prévu pour ceux qui finiraient avant la fin, je le torche en un quart d’heure (en développant les réponses pourtant) et je m’emmerde. On nous amène finalement une nouvelle fiche d’exercices à faire vu que tout le monde a tout fini, puis vient mon tour de passer le test oral. On a abordé tous les points de grammaire, pas de souci, mais le tout dans la plain form, je sais pas comment dire en français. Pas la forme polie, quoi, celle de quand on parle avec ses potosses. Et j’en ai chié ; ça allait vite, il faut aller à l’encontre des réflexes, c’est pas évident. À l’écrit, no problémo, mais à l’oral, aoutch. Mais la prof sait que c’est la première fois qu’on a un truc sérieux à l’oral dans cette forme, et que ç’a été dur pour tous ceux qui ont débarqué cette semaine dans la classe.

Après ça il y a eu le discours de So-san, un Taïwanais sympa qui m’a fait découvrir un groupe de death metal taïwanais pas trop mal. Petit comité, juste deux profs, petit discours sympa (classique mais sympa) et photos. Bon, voilà. Je rentre en me rappelant que j’avais fait deux tâches de sauce tomate sur mon futal à midi, je découvre deux sites complètement futiles qui me prennent l’après-midi et la soirée, et voilà.

Envie de rentrer.